le pulverisateur :

LE PULVERISATEUR

Après 20 ans d'absence, je renoue avec un appareil : le pulvérisateur !
Ce pulvérisateur me permet d'influencer sur certains leviers du vivant. Et ceci sans danger !
Les possibilités de pulvérisation :
 préparations bio dynamique
 aromathérapie (huiles essentielles de plantes)
 phytothérapie : purin d'ortie, décoction de feuilles de sureau, etc.
 produit informé :
 homéopathie
 isothérapie
 activateurs biologiques : Vitasel et autres.
Ma recherche en recherche donne une ouverture et des possibles ! Tels : mémoire de l'eau, mécanique des fluides, électromagnétisme, vitalisme, énergie, bioélectronique, radiesthésie, science quantique.
Pour une compréhension globale, élargir le champ chant des possibles, voila mon champ d'expérimentation.
Ici pulvérisation d'une isothérapie de ravenelle sur une culture de féveroles et d'avoine de printemps !

samedi 14 juillet 2007

LE COMPOSTAGE DU FUMIER !

Photo du 4 mars 2007

Pour moi, ce sujet pose plus d'interrogations que de réponses ! C'est un des piliers de base de l'agriculture biologique.
Différentes méthodes son utilisées, suivant les objectifs à atteindre :
- contrôle des pathogènes, hygiénisation : en maintenant la température du tas à 55° C. pendant 15 jours (c'est la réglementation),
- obtenir un beau terreau-compost mûr,
- avoir un substrat riche en acide humique, support pour un développement microbien du sol (particulièrement intéressant en sol calcaire),
- apport de minéraux (recyclage) beaucoup de paramètres entrent en jeux !
- le rapport carbone azote qui est déterminé par la paille et les déjections animales. Préconisation C/N de 10 à 12)
- la température, l'aération, la structure du tas, hauteur du tas.
En tout cas c'est trouver et faire des compromis entre :
Ø tas trop aéré : perte de carbone sous forme de CO², et ammoniac ou
Ø trop tassé : fermentation anaérobie, production de CH4 (résultat un beurre noir minéral).
Ø La problématique du lessivage des éléments avec risque de pollution et perte de substance (l'azote notamment).
Ø Le sort des graines du fumier (apportées par la paille) qui, au dessus de 62° C. ne germent plus.
Le plus courant étant le compostage en andains avec une évolution différenciée au cœur du tas ou en surfaces. Avec trois retournements du tas à l'aide d'une composteuse, pour y pallier. Alors, on obtient un bon produit.
Pour moi, d'après mes observations et expériences, avec les moyens dont je dispose :
ü les tas qui chauffent même bâchés, exsudent beaucoup de liquide.
ü Les tas froids même détrempés lessivent peu !…
J'opte pour : un compostage à plat chaotique de faible hauteur (60 cm.), à basse température. Chaotique ouvert pour une bonne imprégnation avec l'eau basse température, en lien avec la température environnante.
Le but : séquestrer le maximum de carbone générateur d'humus !
Eviter toute sorte de moisissures, avoir un produit sain et homogène, qui finira son évolution sur le sol de la culture, afin de le stimuler pour une belle danse de la vie des éléments fondamentaux : C N O H.
Bonne semaine !
Isidore

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