La crèche étant la mangeoire, l'auge, où les bovins prennent leur nourriture. Avec le modernisme ça s'appelle maintenant, le couloir d'alimentation, la table d'alimentation ou l'aire d'alimentation.
Avec la mécanisation, la distribution se fait à l'aide de remorque distributrice et de tracteur. Ici, c'est sommaire, à "l'os ".
Conception de bâtiment des années 70, stockage du fourrage au grenier (où l'on roule sur la dalle, avec le tracteur).
En dessous, étable à l'attache où toutes les bêtes furent attachées individuellement durant l'hiver à une chaîne avec abreuvoir d'eau. L'étable a été modifiée en stabulation libre avec litière accumulée (on rajoute régulièrement de la paille).
Aire de couchage, aire d'exercice et aire d'alimentation, une nouvelle problématique se pose ... le troupeau étant bien hiérarchisé au parc, la fuite en avant fonctionne bien et il y a de l'herbe pour tout le monde !! Mais en espace confiné, malgré les 13 m² par animal se pose le problème des dominances car naturellement le 1,50 m. autour de la tête – espace limite virtuel de respect – est souvent enfreint. Alors la réponse dans la cohérence de l'animal "espace vital enfreint, protection" : coup de corne ! Conséquences, stress pour l'encorné, l'encorneuse, et l'éleveur.. Certains ont solutionné en écornant les animaux, solution radicale qui est efficace.
Personnellement, j'aime le caractère qu'expriment les cornes : beauté, intégrité, effet antenne !.. ?
Pour y remédier :
Ø constitution de petits lots équilibrés (à caractère synergique)
Ø alimentation saine, non excitante (foin)
Ø ambiance d'étable et éleveur calme
Ø blocage des animaux lors des repas 2 heures le matin, 2 heures le soir en cornadis auto-bloquant : l'animal vient manger et se bloque automatiquement évitant qu'il ne se déplace constamment (car les bêtes ont l'impression que la place des autres est meilleure). Après ils sont déverrouillés mis en position libre.
Au moins chacun a eu sa ration et a pu manger calmement ...
Ici, on aperçoit diverses créatures à poil.
Après le foin, distribution de la paille d'avoine !
Avec la mécanisation, la distribution se fait à l'aide de remorque distributrice et de tracteur. Ici, c'est sommaire, à "l'os ".
Conception de bâtiment des années 70, stockage du fourrage au grenier (où l'on roule sur la dalle, avec le tracteur).
En dessous, étable à l'attache où toutes les bêtes furent attachées individuellement durant l'hiver à une chaîne avec abreuvoir d'eau. L'étable a été modifiée en stabulation libre avec litière accumulée (on rajoute régulièrement de la paille).
Aire de couchage, aire d'exercice et aire d'alimentation, une nouvelle problématique se pose ... le troupeau étant bien hiérarchisé au parc, la fuite en avant fonctionne bien et il y a de l'herbe pour tout le monde !! Mais en espace confiné, malgré les 13 m² par animal se pose le problème des dominances car naturellement le 1,50 m. autour de la tête – espace limite virtuel de respect – est souvent enfreint. Alors la réponse dans la cohérence de l'animal "espace vital enfreint, protection" : coup de corne ! Conséquences, stress pour l'encorné, l'encorneuse, et l'éleveur.. Certains ont solutionné en écornant les animaux, solution radicale qui est efficace.
Personnellement, j'aime le caractère qu'expriment les cornes : beauté, intégrité, effet antenne !.. ?
Pour y remédier :
Ø constitution de petits lots équilibrés (à caractère synergique)
Ø alimentation saine, non excitante (foin)
Ø ambiance d'étable et éleveur calme
Ø blocage des animaux lors des repas 2 heures le matin, 2 heures le soir en cornadis auto-bloquant : l'animal vient manger et se bloque automatiquement évitant qu'il ne se déplace constamment (car les bêtes ont l'impression que la place des autres est meilleure). Après ils sont déverrouillés mis en position libre.
Au moins chacun a eu sa ration et a pu manger calmement ...
Ici, on aperçoit diverses créatures à poil.
Après le foin, distribution de la paille d'avoine !
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